UN seul bout de phrase est censé prouver depuis des années l’utilité de l’accord du participe passé (aux. avoir) avec le COD :
la mort de l’homme que j’ai désiré(e)
Tournure délibérément ambigüe et présentée hors contexte.
Pourquoi c’est triplement drôle ⬇️⬇️
- c’est hors contexte et phrase incomplète. En contexte ce n’est jamais ambigu
- si on passe au présent (« que je désire ») = ambigüité ; si gênante, on construit autrement 🤦
- si on a « la mort de la femme que j’ai désirée », idem.
L’accord ne sert à rien contre l’ambigüité…
Secret, ne le dites à personne : l’ambigüité syntaxique existe dans énormément de tournures, il y a des livres sur ce sujet. On en joue parfois délibérément, ou on les évite quand c’est gênant…
changement-egalite.be/Requiem-pour-l…
Si les ambigüités vous intéressent, un livre devenu classique :
Catherine Fuchs, Les ambigüités du français, Ophrys 1996, compte rendu ici :
journals.openedition.org/praxematique/3…