« La mort de l’homme que j’ai désiré/e » : arrêter la supercherie et retrouver la raison
Dès qu’il s’agit de s’opposer à la rationalisation de l’accord du participe passé en français, les puristes de tous poils de toute la francophonie se cramponnent au même exemple paré de pouvoirs magiques : « la mort de l’homme que j’ai tant désiré/e ». Cet exemple, qui ne marche ni à l’oral ni au féminin (« la mort de…
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